Salut l’espoir…
Et cette télé qui n’en fini pas !
De dégueuler la médiocrité du monde .
J’étais submergé, presque étourdi .
L’écran déchirait de part en part.
De ces ondes désastreuses, émettent la colère.
La désinvolture des hommes astate
Ne trouvant aucun repos a leurs défaillances neurologiques .
Me voilà plongé dans un flot d’ordures .
A en maudire le monde .
Foudroyé , écrasé de désir et d’ambition .
Voila ce qu’il en est des souvenirs pathétiques de vos égaux.
Il n’en reste que des miettes.
De l’acier pourri qui ne peut que tenir dans une main.
Je veux prendre congé!
Allez voir si Orphée s’emmerde encore a pleurer son Eurydice.
Ne plus me souvenir, arrêter le jeu.
Resté blotti dans le noir de ce trou, me rend fou.
En toute quiétude mes doigts saisissent un flingue
‘BING BING ’
Je suis mort, la tête en charpie.
Au travers des regards froid.
Je croyais tous connaitre du paradis,
Sans savoir qu’il en était l’enfer.
Ou le péché n’est que le fruit,
D’une illusion produite par un dieu vengeur .
Relique d’hommes assoiffés de pouvoir.
Et pourtant !
Demain !
Légère, si légère est la brise .
Un enfant dessine,
un ciel peint de bleu.
Je pouvais y ressentir le froissement d’un sourire.
Tout en distinguant,
la fécondité de l’esprit incandescent.
Plus de pluie dans nos têtes.
Plus de pluie au devant.
Plus jamais, plus de bombes sur nos vies.
Les champs, les prairies ne peuvent être que peint de vert.
Des rêves d’enfants, ravivent d’espoirs.
Des amies , un éclat, la lumière d’autrefois.
La senteur des jours , douceur de ta joue.
Plus de pluie dans nos têtes .
Plus de pluie au devant.
Un ciel peint de bleu.
Salut l’espoir,
Qui danse au devant de nous .
Viens de nouveau sentir le vent de tous changements.
Eric